Moi, je me console en me disant que d'ici que je sois concernée, on aura enfin le droit de décider des conditions de sa propre mort.
Je ferais un testament pour demander qu'on me pique le jour où je deviens un légume.
Les Alzheimer, tout du moins quand ils ont atteint un stade avancé de la maladie, ils ne sont pas malheureux, ils ne souffrent pas, ils vivent dans leur petit monde.
Par contre, les proches, qu'est-ce qu'ils morflent.