(http://www.amnesty.fr/sites/default/files/imagecache/Vignette_page/188499_killing_of_muslim_during_ethnic_cleansing_campaign.jpg) | A partir de récits recueillis directement auprès de victimes et de témoins de crimes en 2013 et 2014, des personnalités en vue sont nommément citées pour leur rôle présumé dans ces atrocités, notamment les anciens présidents François Bozizé et Michel Djotodia, des coordonnateurs anti-balaka, comme Levy Yakété, et des commandants de la Séléka, tels que Nourredine Adam. |
Corps d'un homme musulman tué par des combattants anti-Balaka dans la ville de Boguera le 10 Février 2014. © Amnesty Internation |
Pour que la République centrafricaine puisse se remettre de la folie meurtrière dont elle est le théâtre depuis décembre 2013, il est indispensable que ceux qui ont planifié, commis ou facilité des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité ou de graves atteintes aux droits humains aient à rendre des comptes »