En France, c'est le serpent qui se mort la queue.
D'un côté on a la "
non assistance à personne en danger" et de l'autre, les "
blessures involontaires ayant entrainé la mort ou une infirmité"...
Il est clair que la personne qui connait les gestes doit intervenir, sur un plan moral mais aussi juridique. La justice française ne condamnera pas un réanimateur.
Par contre, si les gestes ne sont pas connus, il ne faut rien faire ! Ou alors courir chercher le défibrillateur le plus proche.
Même si la personne n'est pas réanimée et a les côtés cassées, la famille pourrait porter plainte pour "atteinte à l'intégrité d'une sépulture" (oui, en France un mort est une sépulture).
Méfiance !