Quatre années ont passé depuis la fin du conflit armé au Sri Lanka. Les autorités du Sri Lanka continuent à nier les éléments, de plus en plus nombreux, attestant que des crimes de droit international ont bien été commis par ses forces durant le conflit armé prolongé qui a ravagé ce pays. Elles tentent également d'empêcher les citoyens du Sri Lanka de communiquer avec les Nations unies et d'autres organisations internationales au sujet des violations graves dont ils ont été témoins.