Pourtant, quand ça pète à Paris, c'est les peuples de la planète qui se sentent concernés.
Mais là, à Bagdad, tout le monde s'en fout. Pourtant rien ne ressemble à un carnage qu'un autre carnage.
Ne me parle pas de nos politiques, y en a pas un pour relever l'autre.
Jamais j'aurais cru que la gauche pouvait aller aussi loin dans l'extrémisme.